"Alors que le Parlement européen débat du sujet, nous recueillons les points de vue sur la stérilisation forcée des personnes handicapées qui reste pratiquée dans l'UE, entre accusation d'eugénisme, justification médicale et désarroi des personnes touchées. À Séville, Rosario et Antonio forment un couple depuis 33 ans. Tous deux souffrent d'une déficience intellectuelle de 67% qui ne les empêche pas d'être indépendants et de travailler. Mais leur relation a été marquée, peu après le début de leur rencontre, par une intervention chirurgicale qui a été vécue comme un traumatisme par la jeune femme." https://fr.euronews.com/2023/06/19/la-sterilisation-forcee-des-femmes-handicapees-a-encore-cours-dans-l-ue

"10 questions que vous avez toujours voulu poser à un couple qui se prive de sexe avant le mariage Sarah (21 ans) et Stefan (25 ans) sont deux étudiants originaires de Graz en Autriche. Ils ont tous les deux décidé d'attendre leur mariage avant de coucher ensemble. Ils y sont parvenus, d'ailleurs. Ils se sont mis en couple en 2013 et ont fait l'amour pour la première fois à l'été 2015, après leur mariage. Je les ai rencontrés pour parler d'amour, d'intimité et de leurs moments de faiblesse". https://www.vice.com/fr/article/mvk9z3/couple-pas-de-sexe-avant-mariage https://www.midilibre.fr/2020/02/17/le-risque-de-developper-un-cancer-augmente-a-partir-de-10-partenaires-sexuels,8737888.php https://www.topsante.com/couple-et-sexualite/amour-et-couple/seduction/pas-de-sexe-avant-le-mariage-le-bonheur-assure-22927 https://www.nofi.media/2015/05/pas-de-sexe-avant-le-mariage/17979

"Ce jeudi 1er juin, toutes les caméras étaient braquées vers le palais Zahran, à Amman, où le prince héritier Al-Hussein de Jordanie a épousé sa fiancée, la belle Saoudienne Rajwa Al-Saif. Sans surprise, la famille royale a organisé une grande réception en recevant de nombreux invités de marque. Parmi eux, on retrouvait notamment Maxima et Willem-Alexander des Pays-Bas, le prince William et Kate Middleton, le roi déchu d’Espagne Juan Carlos et son épouse, Sofia, ou encore le prince héritier Frederik de Danemark et sa femme, la princesse Mary. Mais ce n’est pas tout ! Les observateurs ont également pu retrouver la fille de Donald Trump, Ivanka, et la Première dame des États-Unis, Jill Biden." https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/mariage-dhussein-de-jordanie-ces-deux-invitees-qui-se-sont-evitees-pendant-les-festivites_522062#photo-2

"Alors qu’au Japon la natalité est en chute libre, en Israël le taux de fécondité est de trois enfants par femme – un record dans l’OCDE. Le correspondant du journal “Asahi Shimbun” observe avec un certain enthousiasme les caractéristiques qui rendent la société israélienne si disposée à avoir des familles nombreuses. Une femme monte dans un tramway bondé en tenant fermement des deux mains une poussette à deux places, qui transporte ce qui semble être des jumeaux. Elle empêche les gens de descendre et roule sur les chaussures de plusieurs passagers, qui font la grimace. Mais loin de se laisser impressionner, elle se fraie un passage à travers la foule. Une fois sa place assurée, elle pousse un soupir. Cette scène serait-elle possible à Tokyo ? La mère se confondrait probablement en excuses, la tête dans les épaules, et des passagers l’interpelleraient d’un “Eh, faites attention ! Pliez votre poussette !” Mais nous ne sommes pas à Tokyo, ni même au Japon. Nous sommes en Israël, au Moyen-Orient. Ici, on ne voit pas de parents contraints de s’excuser. Ici, personne ne s’offusque si des enfants font du vacarme dans les restaurants. Ici, l’enfant est roi." https://www.courrierinternational.com/article/vu-du-japon-israel-une-societe-tournee-vers-l-enfant

Revenons à l'origine des sens et de la nature humaine. En effet l'être humain est un animal social, mais il est d'abord animal avec des pulsions primaires. Ce sont des parties de la femme mise à nus qui vont amener au sexe oposer des pulsions qui sont juste l'expression de sa nature animal. C'est juste de la biologie. Quand une femme montre un décolté, un homme en général sera exiter au niveau de son corps, ses sens, son cerveau, cela se traduit sous forme de pulsion. Avec un manque de contrôle de soie ces pulsions se traduise en action, et l'action peu produire des avances au mieux voire une agression au pire. Ce n'est pas le faite qu'une femme qui se fait agressé c'est bien, quelque soit son habillement cela est une attitude abjecte mais lorsque nous regardons la propension des femmes qui sont habiller indécemment, il y a l'argument de la liberté invoqué cependant cette liberté leur ote la paix. Dans ce semblant de liberté proné, nous voyons et cela prouve que chacun est quand même responsable de ce qu'il produit dans les coeurs. On ne peut pas toute le temps repousser la faute sur l'autre surtout lorsque nous dans notre action nous allons pousser les choses dans ce sens. C'est important d'avoir de l'attention envers l'autre. Les parties les plus déshonorés du corps devraient être honoré d'un plus grand honneur. Quelque part c'est un mouvement ayant un parfum d'hypocrisie qui ne dit pas son nom. En opposition au parfum de la décence. Les femmes souhaitent s'habiller sans pudeur mais ne veulent pas être agressé. Nous les femmes nous devons nous remettre en question sur la liberté que nous croyons avoir et que nous imposons aux hommes. Comme si les femmes ont toujours été enchainés. Ce n'est pas juste une critique pour critiquer mais c'est dans le sens ou il est important que la femme se pose la question de son identité, et ne s'identifie pas qu'à travers le moi-je, estime de soie, à travers la victimisation de la société patriacale. Il y a plus de notion qui lui pousse à l'individualisme au lieu de penser à la notion de corps, de société et de famille. En effet, la femme a une place de choix au coeur de la société. https://www.bfmtv.com/replay-emissions/le-choix-d-angele/le-choix-de-marie-sur-tik-tok-ces-femmes-montrent-leur-subway-shirt-leur-chemise-de-metro-pour-eviter-le-harcelement_VN-202305240176.html

Nous avons tenu à revernir sur un épisode somme toutefois exceptionnelle dans une génération : "the lockdown" aka le confinement qui fut une surprise pour nous toutes et tous. Moment d'égarement, et d'effroie pour certain moment d'acalmie pour d'autres le COVID a réveillée une armée secrète insoupconné : les couturières, qui a bout de bras, que dit-je de chiffon, de reste de tissus, de dead stock ont apporté leurs pière à l'édifice de la sécurité et de la d'autrui. Ce fut pour la part de la marque Sarael un moment vraiment mémorable, pouvoir apporter sont aide dans des moments aussi tragique est très important même si toutefois nous avions senti et d'autres participantes, parfois un mépris usuel des petites mains, des gens qui ne sont "rien". Qu'a cela ne tienne, nous avions fait le choix le répandre et partager l'amour et non l'indifférence. Et c'est avec plaisir que nous récidiverions :). "Spontané, populaire, efficace : le mouvement des couturières a permis, en pleine pénurie de masques, de pallier les carences de l’État de façon inédite. Mais depuis que le gouvernement a décidé que tout le monde devait être masqué, il tente d’encadrer la production des masques en tissu, au détriment des collectifs de couturières auto-organisées." https://reporterre.net/Masques-l-Etat-meprise-l-organisation-spontanee-des-couturieres?fbclid=IwAR2e4hba-KTlJnzMEFFQ2vIV_UZgFjA4r3-kaIME9h_SRhjNHYS-tUdgX64 https://www.le-republicain.fr/actualites-locales/trois-questions-a-ines-bayama-creatrice-de-mode-et-de-masques-medicaux https://twitter.com/adieorg/status/1245992111364812804 https://es-la.facebook.com/adie.iledefrance/posts/2944305498993654/

"Mariage, ménage, maquillage : elles prônent le retour d'une vie à l'ancienne, débarrassée des tracas éventuels du célibat ou d'une carrière à mener. Entre position réactionnaire et étrange désir de sécurité. Elle se présente face caméra, très apprêtée. Son maquillage est toujours impeccable, sa peau si lisse qu'elle semble irréelle. Elle porte des jupes midi plissées, de longues robes corsetées et, quand elle officie en cuisine, c'est avec un tablier à froufrous : rien, dans son apparence, n'est laissé au hasard. Estee Williams est une Américaine de 25 ans, originaire de l'État de Virginie. Avec près de 84.000 abonnés sur TikTok, elle est l'une des tradwives les plus en vue du moment. Contraction de l'anglais «traditional» et «wife», le terme, en français, peut se traduire par «épouse traditionnelle» : soumise à son mari, elle n'a pas d'emploi et consacre son temps à s'occuper de son foyer. Une position totalement assumée, et même revendiquée." https://madame.lefigaro.fr/societe/je-mets-les-desirs-de-mon-mari-avant-les-miens-les-tradwives-le-mouvement-ultraconservateur-qui-prone-le-retour-de-la-femme-au-foyer-20230411

"Comme le souligne Jo-Ann Owusu, «après la déportation dans les camps, à cause de la malnutrition et du choc, un nombre important de femmes victimes de l'Holocauste n'eurent plus leurs règles». Beaucoup prirent peur: resteraient-elles infertiles à la sortie des camps? Pouvaient-elles envisager un futur –hors des camps– avec enfants? Jo-Ann Owusu cite le témoignage de la Française Charlotte Delbo, survivante d'Auschwitz..." Il est important de comprendre que les camps de concentration étaient des endroits inhumains où les conditions étaient extrêmement mauvaises. Les femmes internées y étaient soumises à des conditions extrêmement difficiles, y compris l'absence de produits hygiéniques et de soins médicaux adéquats. Avoir ses règles dans un camp de concentration était particulièrement difficile pour les femmes, qui n'avaient pas accès à des produits hygiéniques ni à des soins médicaux appropriés. Les règles étaient souvent irrégulières et douloureuses en raison des conditions de vie sous-alimentation et de surpopulation dans les camps. Les femmes étaient souvent obligées de travailler malgré leur état, et elles étaient soumises à des violences physiques et psychologiques de la part des gardes et des autres prisonniers. Les camps de concentration étaient conçus pour être des lieux de détention, de torture et de mort, donc l'expérience des femmes internées était extrêmement difficile et traumatisante. Les femmes étaient souvent exposées à des violences sexuelles et à des viols, et elles étaient souvent stigmatisées et marginalisées en raison de leur statut de femme. Il est important de se rappeler que les camps de concentration étaient des lieux de souffrance et de mort, et que les femmes internées y ont enduré des conditions horribles. Il est important de continuer à se rappeler de ces événements et de continuer à lutter pour que de tels horreurs ne se reproduisent jamais. http://www.slate.fr/story/195200/regles-camp-concentration-seconde-guerre-mondiale?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR2boZBxZy8QCTa4_cIxwHclYRYAnk6OMTK9G28obupdTKmCrYhfG0ikpmk#Echobox=1600522335 https://fr.timesofisrael.com/les-menstruations-dans-les-camps-de-concentration/

"Un trou dans le talon d’une chaussette. Un accroc dans un pull. Une tache d’eau de javel sur une veste. Voilà l’occasion pour une nouvelle génération de cousettes de ressortir l’œuf à repriser en bois de mamie. Mais alors que leurs aïeules s’échinaient à réparer le plus discrètement possible, ces néocouturières (les femmes sont largement majoritaires) exhibent fièrement leurs coutures apparentes. Une dizaine de trous de mites ? On comble par une constellation de points colorés sur un chandail. Un bord de manches élimé ? On ajoute une bande dans une couleur contrastée. Un jean déchiré au niveau du genou ? On le recouvre d’un patch de tissu, quadrillé de traits et de pointillés. Pour ces adeptes du visible mending (« réparation visible », en français), ravaudage et rapiéçage ne sont plus synonymes de dénuement mais d’engagement. Porter un vieux pull marin dont on a artistiquement rallongé la durée de vie revient à brandir un étendard de son écoresponsabilité. Et à faire acte de résistance face à la fast fashion et ses dizaines de collections par an." https://www.lemonde.fr/m-perso/article/2023/03/09/l-art-retrouve-du-raccommodage-pour-prolonger-la-vie-de-son-vieux-pull_6164831_4497916.html